On ne sait pas ce qu’il y a après la mort.

Mis en avant

8 septembre 2024

À une émission de télévision récente, une invitée confia qu’elle est UNE ACCOMPAGNATRICE DE FIN DE VIE. J’ignorais que cette profession existe aujourd’hui avec toute la formation adéquate et requise.

Le talent et la compassion doivent entourer les personnes appelées à accompagner tous ces êtres humains dont la vie tire à sa fin. Il ne suffit pas qu’elles soient à l’écoute de la personne qui est à l’agonie, mais qu’elles sachent tenir les propos rassurants et suggérer UNE VISION BIENHEUREUSE, PLUS OPTIMISTE ET PLUS JUSTE DE LA MORT. Elles doivent aussi savoir prodiguer les soins appropriés et palliatifs.

Une grandeur d’âme doit insuffler cette vocation qu’on attribuait dans le passé, et encore aujourd’hui, à des bénévoles.

Que de propos intimes elle a écouté. Elles sont multiples, les appréhensions en face de la mort. LA PEUR en anime certains et UNE FÉLICITÉ enrobe les autres. Curieusement, ceux et celles qui ont entretenu des valeurs religieuses et aspiré à une vie qu’ils souhaitent paradisiaque après la mort font curieusement partie de ceux et celles qui appréhendent la peur. Pourtant, ces derniers devraient faire partie de la cohorte qui caresse l’espoir et anticipe une hâte joyeuse d’atteindre cette destinée.

Il y a aussi ceux et celles qui font appel à L’AIDE À MOURIR. Après plusieurs années, cette démarche offre au patient le choix de son heure pour mourir. L’invitation à la famille et aux amis est faite à assister à ses derniers moments de vie. Les conversations avec ses invités sont empreintes de joies et d’humour. L’expérience nous apprend que la personne concernée démontre une paix, une quiétude et une sérénité. Lire la suite